Au travail, jamais sans mon NIKON et les réactions qu’il génère.
Cet article est le condensé d’une prochaine publication dans Sentral de KLUWER. Voir le précédent sur : https://sentral.kluwer.be/secure/documentview.aspx?id=VS300927899
L’objectif d’un appareil photo pourrait-il changer le comportement d’un travailleur ? La réponse est clairement oui….Par sa présence d’abord et les réactions que suscite l’image qu’il délivre ensuite. Il ne s’agit pas d’espionner ou de « fliquer », il s’agit de prendre un instantané et de bien s’entendre sur l’usage qu’il en sera fait en s’accordant en priorité sur l’utilité constructive que peut délivrer cet outil.
Peut-on imaginer que les travailleurs fassent du bon et sain travail? Alors pourquoi ne pas montrer qu’ils prennent soin d’eux, de leurs collègues et de leur environnement de travail ? Ils n’en auront que plus de fierté… notion du prendre soin.
Au sein de cet esprit du prendre soin (légiféré au sens de la loi sur le bien-être), il peut arriver que l’une ou l’autre situation mérite une amélioration matérielle ou une réflexion plus pointue sur la méthode de travail. Autant capter la situation afin d’en discuter (feedback immédiat) et générer une réflexion constructive. Prendre la photo n’est pas le tu qui tue, c’est le révélateur d’un fait qui permettra une analyse du pourquoi et du comment mieux faire.
L’ensemble des photos, quant à elles, doivent être le reflet des observations dans leur globalité. N’établir que des photos négatives, signifierait que ce qui a été observé est accablant et conduirait dès lors à une démotivation, ce qui n’est pas l’objet. Les instantanés choisis doivent faire la part des choses et savoir promouvoir.
Le plus intéressant est la réaction aux photos; de là, l’utilité de bien définir comment elle vont être diffusées.