TRAVAUX : une saine surveillance sur le terrain, jamais sans mon NIKON
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Une saine surveillance à cet effet est capitale, voire obligatoire dans certains cas. Cela se prépare ; il y a une méthode et une manière de le faire. La mise en place de ce système, car cela ne s’arrête pas au fait d’observer, nécessite d’appréhender les paramètres de ceux qui seront le foyer de l’observation et les destinataires directs ou indirects des résultats.
Le « nikon » n’est qu’une image, instantanée. Il objective les situations pour lesquelles les réactions sont toutes aussi intéressantes que la situation elle-même. Il permet surtout d’alléger la lourdeur des rapports consécutifs aux visites.
Après la photo éclair, viennent l’action et ensuite le dialogue destiné à établir une confiance réciproque, et à motiver.
Ci-dessous, vous trouverez la tête des chapitres de l’article que vous pourrez lire dans les prochaines éditions de KLUWER.
La méthode et la manière de contrôler : 2 choses différentes – méthode et manière. La méthode utilisée s’inspire de la théorie/systémique de ISHIKAWA étendue à 2 ou 3 M supplémentaires sous des angles différents. Surveiller est une chose, l’esprit est à aider et montrer cet engagement.
La photo .. NIKON. La photo est un outil, ce qu’il en est fait et comment elle est prise sont importants, elle est éclair. L’action immédiate ou consécutive suivent.
Ci-dessous, quelques suggestions et expériences à partager afin de les empêcher; du minimum au maximum :
Plutôt le film.. dans l’analyse des tâches. Selon l’objectif des visites, photos et capsules video s’allient parfaitement; très efficaces en analyse participative ensuite. C’est l’expérience qui guide le NIKON.
Le rapport ensuite = la traçabilité et surtout les actions qui s’en suivent confèrent la confiance dans le système. La sécurité, ça doit se voir !
Etc… voir l’article plus élaboré sur Sentral de KLUWER :